vendredi 7 octobre 2011

The Platypus Park & The Mount Hypipamee


Le lendemain, nous partîmes en direction d’Atherton la ville, capitale de cette région des terres. Une petit ville sans grande intérêt mais avec un office de tourisme efficace et super agréable qui nous conseille le Platypus Park à la sortie de la ville ou nous pourrons observer des ornithorynques dans un bassin semi naturel car aménagé avec une plateforme d’observation. Bon nous sommes arrivés avant le déjeuner et nous sommes repartis en fin d’après-midi, les platypus étant des animaux timides et ne sortant qu’aux faibles lueurs de l’aube et du crépuscule. A côté de ça nous avons vu des tortues, des canards qui se battaient entre eux, essayant de s’entre noyer, des serpents d’eau douce et … en fin de journée qui voyons nous pointer le bout de son bec plat ? Notre ami le platypus ! Il est tout petit, une trentaine de cm grand max. Nous l’avons observé sur les rives du petit cours d’eau annexe au bassin pendant un bon petit moment essayant de se faire discret afin de le capturer en photo. Le résultat est mitigé et une brindille sous mon pied l’effraiera au point de retourner à toute allure dans la sécurité de son terrier. Mais bon ce fut chouette de pouvoir observer cet animal dans son milieu naturel, de plus nous étions quasi seul et du coup tranquille, parfait !












Allez bye bye platypus direction le Mount Hypipamee et son cratère tiré d’un film de science-fiction : 58 mètres entre le sommet et la surface de l’eau, 61 mètres de large et 70 mètres de plus sous la surface de l’eau qui comme vous le voyez est directement sorti des marais de Dagoba car verte est l’eau et mystérieuse la vie qui s’y cache ! Bon le tout s’accompagne de magnifiques chutes d’eau, les Dinner Falls, go photos ;)










Bon ce n’est pas le tout mais avec toutes ces merveilles à contempler, l’horloge tourne et il va falloir trouver un lieu où dormir. Et la ça se gâte, nous aurons un peu de mal à trouver un endroit où dormir, la nuit et le brouillard nous tombant dessus telle une pierre, ce n’est qu’à un point de lookout perdu dans les hauteurs et le brouillard que nous déciderons de nous arrêter pour la nuit.







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